Echange avec l’Allemagne: nos élèves sont à Wiesbaden!

Mardi 29 mai
La dernière journée de notre séjour : ce matin, nous sommes allés, en bus, à Mainz. Nous avons suivi une visite guidée, en français, dans le musée Gutenberg, où ils ont pu découvrir la toute première imprimerie. Les élèves ont ensuite eu un quartier libre dans la zone piétonne de Mainz. Après une après-midi avec leur correspondant, tous se sont retrouvés pour le dernier temps fort de l’échange : la soirée amicale ! Tous ont bien dansé.
Demain, ce sera les adieux et les retrouvailles avec nos familles.

 

Lundi 28 mai
Aujourd’hui, les correspondants français et allemands ont passé la journée tous ensemble ! Au programme : le Rheingau Tour avec le beau temps au rendez-vous ! Nous avons pris le train pour aller à Rüdesheim. La balade a commencé avec un téléphérique surplombant les vignes et, en haut, nous avons pu admirer la vue sur le Rhin et ses villages pittoresques. “Das war so romantisch !” Puis, nous avons suivi un sentier dans les bois et, deux par deux, nous avons pris un télésiège qui redescendait la colline. En bas, nous avons pris un bateau pour remonter le Rhin et retourner à Rüdesheim. Tout le monde a bien profité de cette belle journée ensoleillée !

Vendredi 25 mai
Ce matin, nous avons pris le S-Bahn pour passer la journée à Francfort. Nous avons commencé par la visite du Senckenberg Museum (le musée d’histoire naturelle), ensuite nous sommes allés dans le quartier des Tours et nous avons pu admirer la vue sur Francfort et ses alentours en haut de la “Maintower”. La journée s’est finie avec un quartier libre dans le centre commercial de Francfort. C’était une belle journée. Les élèves vont maintenant passer un week-end dans la famille de leur correspondant.

 

Jeudi 24 mai

Aujourd’hui, nous avons été chaleureusement accueillis à la Leibnizschule. Un petit-déjeuner avec des “Bretzeln” nous attendait. Les élèves ont ensuite suivi quelques cours et ont pu observer des différences entre le système français et le système allemand. Pour le déjeuner, les élèves ont essayé “die Mensa” (la cantine). L’après-midi, ils ont découvert la ville de Wiesbaden, en prenant un petit train touristique. À 17h, chacun a rejoint son correspondant.

Mercredi 23 mai

Les élèves de la Tourette sont bien arrivés à Wiesbaden, accompagnés de madame Zschachlitz et madame Cadot-Payre.

L’échange avec Wiesbaden se poursuit et c’est maintenant au tour des Français de faire le voyage. Le trajet pour Wiesbaden s’est bien passé. Heureusement, les autres passagers n’étaient pas très nombreux dans le wagon car les décibels étaient élevés ! Après 6 heures de train, nous avons pris le S-Bahn de Francfort à Wiesbaden qui a eu 30 minutes de retard. Les correspondants et leurs professeurs nous attendaient tous sur le quai et chacun est très vite parti pour une première soirée en famille.

 

Mercredi 21 mars

Après de rapides adieux, les correspondants allemands sont partis à la gare pour retourner à Wiesbaden. Ils sont bien arrivés! A bientôt à Wiesbaden pour la suite de l’aventure.

 

Mardi 20 mars

Les correspondants allemands sont partis visiter le musée des Confluences, le matin, et l’après midi, ils sont allés dans le quartier de Saint Jean. Après un quartier libre à Bellecour, ils sont rentrés glacés au collège. La journée s’est finie avec la soirée amicale avec une salle pour la fête des correspondants et une autre où les parents et les professeurs ont pu échanger sur la semaine passée.

Lundi 19 mars

Aujourd’hui, les correspondants allemands ont, un peu, découvert le système éducatif français, en participant, le matin, à deux heures de cours. L’après-midi, les élèves allemands et français ont travaillé ensemble par groupe de 4 ou 6 pour préparer les affiches en lien avec leur visite de la grotte Chauvet. Après une photo devant le collège, les élèves sont rentrés chez eux.

Vendredi 16 mars

Très tôt ce matin, tous les correspondants français et allemands sont partis en car à Vallon Pont d’Arc pour visiter la grotte Chauvet. Certains élèves ont participé à un atelier “chasse”, au cours duquel ils ont appris à manier la sagaie, et d’autres à un atelier d’art pariétal, où ils ont peint comme on le faisait à la préhistoire. Tous ont pu profiter du temps magnifique au moment du pique-nique. Les élèves sont rentrés bien fatigués après cette belle journée. Ils vont maintenant passer un week-end en famille.–

 

Jeudi 15 mars
La journée a commencé par un petit déjeuner français, puis a continué avec un tournoi de ping-pong. Les élèves français et allemands étaient tous réunis. Après un déjeuner au self, les correspondants allemands sont allés visiter le musée des Canuts et le quartier de la Croix-Rousse. Même si le beau temps n’était pas au rendez-vous, tout s’est bien passé !

Mercredi 14 mars 2018

Les correspondants allemands sont arrivés ! Les élèves germanistes des classes de 5èmes 6 et 7 étaient un peu stressés avant de rencontrer leur correspondant ! Mais tout s’est bien passé et chaque élève allemand est parti passer une première soirée en famille.

Cet échange avec Wiesbaden concerne 30 élèves de 5e de la classe bilangue.

Nous accueillons nos correspondants allemands à Lyon du 14 mars au 21 mars 2018.

 

Lien Permanent pour cet article : https://latourette.blogs.laclasse.com/2018/05/28/echange-avec-lallemagne-2/

Voyage scolaire à Venise

Le voyage à Venise s’est déroulé du 21 au 26 mai avec les élèves italianistes des classes de 4e3, 4e4, 3e3, 3e4, 3e5.

Vendredi 25 mai

Dernière journée. Splendeur de Venise vue d’en haut au Campanile. Pique nique à Santa Maria. Promenade sur les zattere et pause glace tant attendue. Temps libre sous les arbres. Après-midi art contemporain au musée Guggenheim. Débats enflammés sur l’art contemporain. Bientôt déjà la dernière soirée.–

Jeudi 24 mai

Journée sur les îles. Verrerie à murano. Burano multicolore. Retour sur Venise avec la visite du palais des doges et beaucoup de temps sur le bateau. Temps radieux. Enfin. Premiers coups de soleil. Élèves et adultes ravis et séduits par les couleurs les ors et la lagune

 

Mercredi 23 mai

Visite du teatro La Fenice, de l’atelier artisanal de masques vénitiens et de la piazza San Marco

 

Mardi 23 mai

8h30: les élèves sont bien arrivés à Venise.

 

Voici quelques photos de notre journée.

Visite de la ca d’oro : La Ca’ d’Oro est l’un des palais les plus connus du Grand Canal dans le sestiere  du Cannaregio à Venise.

Puis visite de la basilique saint Marc.

Temps d’autonomie en après midi sous un joli soleil.

 

 

Lundi 22 mai

Départ des élèves vers 21 heures du collège

Lien Permanent pour cet article : https://latourette.blogs.laclasse.com/2018/05/26/voyage-scolaire-a-venise/

« CRUE, ANTICIPATION CLIMATIQUE »

par la 77ème promotion Joël POMMERAT de l’ENSATT

Le 28 février 2018, les élèves de 4°4 ont été invités par le TNG à découvrir la création de la 77ème promotion Joël POMMERAT de l’ENSATT, « Crue, anticipation climatique », dirigée par Jean-Pierre BARO. Mercredi 7 février, ils ont reçu la visite de Frédérique CLUZEAU, assistante de direction du TNG, accompagnée par deux élèves de l’ENSATT qui leur ont présenté l’ENSATT et leur spectacle. Les élèves leur ont également lu les scènes qu’ils avaient inventées par groupes lors de l’atelier d’écriture.

L’ensatt

L’ENSATT est l’Ecole Nationale des Arts et Techniques du Théâtre. Elle a célébré ses soixante-quinze ans en 2016 et s’est installée à Lyon il y a une vingtaine d’années. Plus connue sous le nom d’« Ecole de la rue Blanche », cette école de théâtre accueille chaque année près de deux cents étudiants en formation initiale et stagiaires en formation continue annuelle et soixante-dix à quatre-vingts professionnels en formation continue courte. Tous les corps de métier du théâtre y sont enseignés.

Corentin, Samson, Seif.

Lors de notre rencontre avec les élèves de l’ENSATT, nous avons pu constater qu’une pièce de théâtre ne correspond pas seulement à ce que l’on voit sur scène. C’est beaucoup plus complexe. Différents corps de métiers, qui ne sont pas présents sur scène, sont pourtant essentiels à la conception d’un spectacle.

A l’ENSATT, pour la création du spectacle « Crue, une anticipation climatique », sept élèves auteurs ont participé à l’écriture du texte. On en a même rencontré une : Lisiane DURAND. Il y a également deux metteurs en scène (un professionnel et un élève) qui ont analysé en profondeur le texte pour assurer la mise en scène. Quatre élèves scénographes ont organisé l’espace et conçu les décors. Pour les costumes, deux élèves concepteurs ont imaginé les costumes que pouvaient porter les comédiens sur scène, deux élèves costumiers les ont réalisés en suivant les croquis des concepteurs et pour finir, deux élèves ont été chargés de couper les costumes selon le physique des comédiens. Il y a également deux élèves chargés de la conception des lumières qui réfléchissent au placement des spots lumières qui seront par la suite installés par des techniciens. Les régisseurs sont présents durant le spectacle pour se charger de l’éclairage pendant la représentation. Deux concepteurs son sont aussi essentiels pour le bon déroulement du spectacle : comme pour l’éclairage, des techniciens installent les enceintes à des endroits précis sur la scène. Les régisseurs s’occupent des effets sonores durant la pièce. Onze élèves acteurs de l’ENSATT ont été requis pour la pièce « Crue, anticipation climatique ». Un corps de métier qui est souvent oublié, mais qui est essentiel au bon déroulement d’un spectacle est l’administration. On a eu le privilège de rencontrer une des élèves de l’ENSATT qui s’occupe de l’administration : Marie-Julia YZERN.

Charlie, Enzo et Jem

 Atelier d’écriture

Le mardi 6 février, madame CAMPANELLA nous avait préparé un atelier d’écriture sur la deuxième partie du spectacle « Crue, anticipation climatique » : par groupes de deux ou trois, nous avons tiré au sort une liste de personnages, un objet, une action et un extrait de la scène. A partir de ces indications, nous avons eu deux heures pour écrire à quatre ou six mains une des scènes théâtrales de « Crue, anticipation climatique ». Le lendemain, lors de la visite de deux élèves de l’ENSATT de troisième année, une auteur et une administratrice, et de Frédérique Cluzeau, l’assistante de direction du TNG, chaque groupe a lu à plusieurs voix sa scène devant la classe.

Charlotte, Faustine, Jeanne L, Louna et Milla B.

Mots croisés autour de l’ENSATT

Soleiman, Tristan et Wissam (avec des précisions de Corentin, Samson et Seif).

Horizontalement

2. Technicien caché en coulisse qui s’occupe des changements de décor, des trucages et des machines à effets spéciaux pendant le spectacle.

3. Artisan qui recherche, fabrique les accessoires, en lien avec le scénographe.

6. Ville où est installée l’Ecole Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre.

9. Créateur responsable de la conception des costumes.

10. Nom de l’élève auteur rencontrée en classe.

11. Concepteur des décors.

14. Créateur d’effets lumière.

15. Nom de l’élève administrateur rencontrée en classe.

Verticalement

1. Personne responsable de la gestion des budgets du théâtre.

4. Concepteur de moments dansés.

5. Créateur d’effets sonores.

7. Acteur engagé pour apprendre le rôle d’un interprète important afin de pouvoir le remplacer si besoin.

8. Auteur de pièces de théâtre. Conseiller littéraire et théâtral qui aide le metteur en scène par une réflexion théorique sur l’œuvre.

12. Personne qui joue sur scène et incarne un personnage.

13. Nouveau nom de l’ancienne école de théâtre de la Rue Blanche où sont enseignés les différents corps de métier du spectacle vivant.

Le spectacle « Crue, anticipation climatique »

©David Anémian

« Crue, anticipation climatique » comporte deux parties : la première se passant avant la catastrophe et la seconde après la crue. Nous sommes allés voir la deuxième partie : tout Lyon est sous l’eau et on suit la vie de différents personnages qui tentent de s’adapter au nouvel environnement. Nous avons assisté à sept scènes différentes écrites selon le principe de la ronde : dans chaque scène revient un personnage de la scène précédente.

La pièce s’ouvre sur un bateau sur lequel apparaît un otage, Vincent FORAGE, représentant d’un groupe pétrolier et donc un des responsables du réchauffement climatique. Humilié par ses ravisseurs qui le filment pour diffuser la vidéo sur Internet, il est abandonné, seul et désemparé, dans l’embarcation.

Dans la deuxième scène, des atlantes montent sur le bateau et concluent un marché avec Vincent FORAGE : Atlante demande à Vincent de l’emmener voir la nature qu’elle aimerait découvrir.

Dans la troisième scène, la déesse est cachée derrière un arbre à côté d’un homme qui tente d’écouter la météo à la radio. Un photographe arrive et prend des photos. Il essaie d’entamer la conversation avec l’autre personnage mais celui-ci lui demande de se taire, car la réception est très mauvaise. Le photographe découvre alors Atlante et est très impressionné.

La quatrième scène présente quatre personnages dans l’eau : David, un peintre, Mylène, une riche négociante de sable qui lui a commandé des tableaux de la catastrophe, Elsa, son assistante et Sheed, son habilleur-conseil. Une bagarre éclate et Mylène tombe à l’eau. L’un d’eux la sauve.

Dans la cinquième scène, David et un vieux monsieur sont assis sur des ordures flottantes. David propose au vieillard de lui donner sa montre en échange de son téléphone mais ce dernier refuse le cadeau et ne lui demande que son amitié. Un autre personnage arrive sur un radeau et propose de les emmener sur une île artificielle. Il avoue que cette île n’existe pas. Ils tuent David.

Dans la dernière scène, une femme enceinte est sur le point d’accoucher mais ne veut pas le faire dans ces conditions. Elle chante donc pour calmer l’enfant dans son ventre et lui parle dans l’espoir de retarder la naissance. Le volume de la télévision devient de plus en plus fort et on comprend que l’enfant va arriver…

Alexandre, Idris, Jeanne P et Oya (avec des précisions d’Ambrine, Anita, Laurane et Kayah).

©David Anémian

La pièce nous laisse imaginer notre propre fin. La mer était projetée sur un écran au fond de la scène. Le bateau était représenté par une construction en bois avec des voiles ; des hommes en combinaison de plongée faisaient tourner la structure pour imiter l’effet du courant. Les voix de certains personnages ont été modifiées par les techniciens du son et des bruitages qui nous rappellent la nature ont été ajoutés. L’éclairage était parfois centré sur un personnage pour le mettre en évidence ou de couleur bleue pour rappeler l’eau.

Ce spectacle nous a beaucoup plu, nous avons trouvé la mise en scène et le sujet abordé très intéressants.

Ambrine, Anita, Laurane et Kayah.

Rencontre en bord de scène avec les élèves de l’ENSATT

Au début de la rencontre en bord de scène, les comédiens et les élèves de l’ENSATT qui ont participé à la création nous ont questionnés sur le spectacle. Ils nous ont demandé si cela nous avait plu et quelle était notre scène préférée. Beaucoup d’élèves étaient frustrés par la fin ouverte. Certains ont posé des questions sur des éléments qu’ils n’avaient pas compris. Chaque élève de l’ENSATT a pris la parole pour nous expliquer en quoi consistait leur métier et quelle avait été leur part dans cette création collective. Pendant un petit moment, nous avons eu la possibilité et la chance de dialoguer avec les personnes présentes et nous leur avons posé quelques questions sur le spectacle. Comme les techniciens et les comédiens devaient démonter et ranger tout le décor, nous nous sommes déplacés sur les gradins du haut de la salle et nous avons pu continuer la discussion avec Frédérique CLUZEAU.

Clément, Fabio, Radwan, Romain et Silas.

©Isabelle Campanella

Lien Permanent pour cet article : https://latourette.blogs.laclasse.com/2018/05/24/crue-anticipation-climatique/

« MOI, LES MAMMOUTHS » de Joris MATHIEU, en Cie de Haut et Court

Le mardi 23 janvier 2018, les élèves de 4°6 ont été invités par le TNG à découvrir la nouvelle pièce de Joris MATHIEU, « Moi, les mammouths ». Jeudi 18 janvier, ils ont reçu la visite de Delphine DREVON, responsable du service des publics. Elle a d’abord présenté le TNG et son métier, puis la collaboration entre Joris Mathieu et l’auteur qui a écrit la pièce : Antoine VOLODINE.

Robin

Le TNG

Le TNG (Théatre Nouvelle Génération) est un CDN, Centre Dramatique National situé à Vaise : c’est un label attribué par le Ministère de la Culture à une institution théâtrale en lien avec la notion de théâtre public.

Il est dirigé par Joris Mathieu, metteur en scène et directeur, qui a été nommé directement par la Ministre de la Culture. Deux artistes sont associées au TNG : Phia Ménard et Chiara Guidi.

Comme nous l’avons découvert lors de notre visite du TNG en sixième, plusieurs services travaillent ensemble pour assurer le fonctionnement du théâtre :

  • La direction
  • L’administration
  • La production
  • La communication
  • Le service des publics
  • L’équipe artistique
  • l’équipe technique
  • l’équipe d’entretien.

 

Le TNG est subventionné par l’État, ce qui lui permet de proposer des places à un tarif moins élevé : de 5 à 18 €, contrairement aux théâtres privés où le prix des places peut aller jusqu’à 80 €.

Alexandre, Charlotte, Martin et Paul-Virgil.

 

 

Le métier de RP

RP, c’est quoi ?

C’est un métier qui fait partie du domaine administratif et non artistique et qui consiste à être en contact avec le public. Son objectif premier : donner envie de venir découvrir le théâtre à des personnes n’ayant pas l’habitude d’y aller. Pour que le théâtre occupe une place importante dans la vie active et artistique de la ville, du département, de la région, etc., les RP font des partenariats avec les établissements scolaires, les bibliothèques, les centres sociaux, les différentes associations telles que les MJC, etc. Elle organise aussi des rencontres avec des classes, comme la nôtre.

RP au TNG, c’est qui ?

Dans le service de relations publiques, il y a généralement plusieurs personnes avec différents statuts. Au TNG, le service des publics comprend la billetterie et les RP : 

 

 

 

 

 

  • Delphine DREVON (responsable du service des publics),

  • Vanina CHAIZE (responsable des publics lycéens, étudiants, adultes et comités d’entreprise),

  • Frédérique CLUZEAU (relations avec les collèges du département) et

  • Juliette PIATON (chargée de relations publiques, crèches, écoles, collèges de la Métropole, ass

    ociations et relais sociaux).

Emma et Pénélope, avec des précisions de Lou.

 

Joris Mathieu en Cie de Haut en Court

Joris Mathieu est un metteur en scène et directeur du TNG depuis le 1er Janvier 2015.

Avec des amis, il fonde la Cie Haut et Court en 1998. Il adore la littérature et les arts plastiques. Il privilégie l’adaptation des romans ou de nouvelles qui lui permettent de s’exprimer en tant qu’auteur scénique. Très vite, la compagnie est repérée sur la scène régionale et par les institutions. Joris se pose alors des questions sur la place du théâtre dans la ville et invente des nouveaux projets. Il entame une grande et longue coopération avec Antoine Volodine.

La compagnie développe également un intérêt tout particulier pour le jeune public.

Arthur, Raphaël et Louis.

Antoine Volodine

Antoine VOLODINE est un écrivain français très prolifique, né à Chalon sur Saône en 1950. Lauréat de l’édition 2014 du prix Medicis grâce à son livre Terminus radieux, il est aussi connu sous le nom de : Elli KRONAUER, Lutz BASSMANN et Manuela DRAEGER. Ce sont tous des hétéronymes, nous ne connaissons pas son véritable nom. Manuela DRAEGER écrit plutôt pour les enfants/adolescents tandis qu’Antoine VOLODINE et Lutz BASSMANN s’adressent plutôt aux adultes. Tous les livres de cet auteur ont un lien entre eux (personnages, lieux et univers).

  Avant d’être écrivain, il a enseigné le russe que l’on retrouve dans le nom de ses personnages (Lili Nebraska) comme dans ses hétéronymes (Antoine VOLODINE, Elli KRONAUER).

  Antoine VOLODINE approuve les mises en scène de ses textes par Joris MATHIEU et il a d’ailleurs écrit un texte spécialement pour lui : Frères Sorcières

Robin, Guilhem, Lou et Perrine.

Les romans de Manuela DRAEGER

Manuela DRAEGER, hétéronyme d’Antoine VOLODINE, est un auteur qui a écrit onze romans de science- fiction pour la jeunesse.

Ses livres sont tous reliés et on retrouve des personnages en commun comme Bobby POTEMKINE et Lili NEBRASKA qui évoluent dans un monde flottant, un peu singulier (rêve ou réalité ? futur ou passé ?). Dans ce monde parallèle au nôtre, on peut trouver des animaux imaginaires capables de parler (une chauve-soubise, une mouette, un chien…). Il rédige des histoires avec des enquêtes que ces deux personnages résolvent toujours.

Merci à Delphine qui nous a prêté tous ces livres. Nous avons hâte d’en lire plus car nous adorons l’univers de Manuela DRAEGER…

Célestine, Florentina et Kelian.

Dans Moi, les mammouths, on découvre une ville désertée par la police, où les habitants sont des chauves soubises, des mouettes en minijupes ou des crabes laineux qui prennent des cours de lune. La directrice de la Maison du Peuple a été écrasée par des Mammouths : voici une nouvelle enquête pour Bobby Potemkine et son amie Lili Nesbraska.

Nous avons aimé entrer dans l’univers étrange de Manuela Drager. (Kilian et Jadène)

Nos bébés pélicans met en scène des bébés pélicans abandonnées par leurs mères (nous ne savons pas vraiment si elles existent) et qui résident dans la rue. Bobby va à la recherche de celles-ci avec l’aide des chauves-soubises et de Djinn, son ami chien.

Nous avons trouvé ce roman très intéressant. (Florentina et Célestine)

Dans Un œuf dans la foule, Bobby  Potemkine a une grosse affaire sur les bras: les Josette. Ce sont des élèves quasiment identiques, portant toutes le même prénom : Josette. D’habitude, elles sont très assidues, mais depuis un certain temps, elles ne vont plus à l’école et errent dans les rues en grignotant des œufs. Aidé par son amie Lili Nebraska et sa voisine Lili Lomelli, Bobby va essayer d’en savoir plus sur ces mystérieuses Josette qui attendent une douze-millième Josette et sur leur passion des œufs.

J’ai bien aimé car il y a beaucoup de suspense tout le long du livre. (Kelian)

Dans La nuit des mis bémols, Bobby Potemkine voit passer le temps très, trop vite. Il doit s’occuper de l’affaire des clafoutis qui sautillent et mordillent et le corbeau transparent va bien l’aider dans son enquête.

Nous avons bien aimé cette lecture : comme Bobby, on ne se rend pas compte du temps qui passe. (Emma et Lou)

La technique au service du spectacle ” Moi, les mammouths”

Dans le spectacle, Nicolas BOUDIER utilise la lumière pour « hypnotiser » le spectateur. Il se sert de la phosphorescence, la persistance rétinienne et des ombres pour que le spectateur se sente perdu et ne sache plus exactement où il est. L’ombre de la pièce est propice à la somnolence et à l’endormissement alors qu’au contraire les flashs de lumière nous « réveillent ». Le sol et le mur sont phosphorescents dans le but de laisser une source de lumière dans la pièce. Pour la scène dans laquelle Maud PEYRACHE écrit sur le mur, deux éléments sont utilisés : le décor phosphorescent qui permet tout simplement d’écrire sur le mur et les flashs lumineux qui permettent de recharger le mur et le sol afin qu’ils soient toujours phosphorescents. Nicolas Boudier cherche à troubler nos perceptions avec toutes ces lumières en les allumant et en les éteignant de façon à nous plonger dans l’histoire de la pièce et à captiver notre regard sur ces clignotements, flashs et autres…

Ariana et Aristide.

 

Rencontre en bord de scène avec Maud Peyrache et Nicolas Boudier

 

Après le spectacle, Maud PEYRACHE, comédienne et Nicolas BOUDIER, créateur lumière, nous ont consacré du temps : nous avons pu leur poser des questions et échanger avec eux autour de la pièce.

Est-ce que vous étiez déjà dans votre personnage quand on est entrés dans la salle ?

C’est le moment où je rentre dans le personnage ; je suis obligée de me scotcher là pendant cinq ou dix minutes avant que vous arriviez et après, pendant l’entrée du public, c’est le moment qui me permet de commencer à entrer dans l’état dans lequel je serai derrière.

C’est quoi, une Maison du Peuple ?

C’est un endroit associatif dans un quartier, dans des campagnes, qui permet d’apporter la culture où il n’y en aurait pas vraiment sans cela. C’est un peu l’ancêtre de la MJC. C’est un peu lié au communisme, à une volonté politique d’apporter la culture pour tous. C’est un lieu qui propose des activités et où les gens viennent pour s’élever intellectuellement, par la culture. A Vénissieux par exemple, le théâtre s’appelle la Maison du Peuple. C’est une très bonne question parce que ça raconte énormément de choses sur notre monde, à une période, et sur notre monde de maintenant. Ça pose aussi des questions pertinentes sur ce qu’est le spectacle et sur ce qu’il raconte aussi. Ça parle aussi d’un monde qui est en train de se finir, qui est en train d’être remplacé par un autre mais on ne sait pas trop ce que c’est encore… Ça raconte plein de trucs, c’est un vrai iceberg.

Pourquoi avoir choisi comme décor un studio de tournage ?

Les prémisses de ça, c’est vraiment la phosphorescence : on avait envie d’une espèce de couloir, un espace assez petit, un peu confiné, dont on ne peut pas vraiment sortir. Et après la question est : comment on réalise ça ? On fait aussi avec les outils qu’on a au théâtre et ça c’est un outil très simple : une toile peinte. Dans le théâtre traditionnel, on avait souvent des toiles peintes avec des paysages. Là, le paysage disparaît au profit de la phosphorescence et le paysage, c’est un peu Maud qui le fait exister, par les mots et à travers vous : c’est-à-dire que vous, vous les inventez. Ces images de paysages, elles existent entre Maud et vous. La lumière et les sources lumineuses font vraiment exister, en tout cas suggèrent le paysage évoqué (la banquise et les aurores boréales par exemple). C’est un espace assumé à l’intérieur du théâtre.

Est-ce que la phosphorescence était présente dès le début ?

On a commencé à travailler tout de suite texte et musique. Nicolas Thévenet a créé tout le son que vous avez entendu. On a travaillé tous les deux (Maud et Nicolas) comme un duo, quelque chose de très musical, presque comme un slam : il y avait quelque chose de ça dans le rapport entre la voix et le son. On a essayé des choses, ça s’est construit. On a présenté sans la phosphorescence dans un collège à la campagne. Après, le dispositif est arrivé. Il y a eu des changements, dans le texte un peu et dans le son aussi. Le passage enregistré du rêve par exemple est arrivé à ce moment-là, avec le dispositif. On avait trouvé un équilibre et cette chose très forte est arrivée et il a fallu trouver un nouvel équilibre et tout bouge à nouveau. La phosphorescence permet de jouer entre un espace imaginaire et un espace réel. C’est comme un studio photo mais ce n’est pas que cela non plus. Il y a des flashs mais ils jouent aussi avec la toile, on parle aussi d’espace cosmique, d’orage cosmique.

Comment fonctionne la persistance rétinienne ?

C’est une sorte d’éblouissement. On ne se rend pas compte quand la lumière arrive mais on se rend compte quand elle est là : il n’y a pas de changement radical. Ça dépend aussi d’où on se trouve, d’où on regarde à ce moment-là : si on a les yeux fixés sur quelque chose de très orange et que derrière on passe au vert, le vert sera encore plus vert parce que ce sont deux couleurs complémentaires. C’est l’œil qui imprime des choses, qui transforme les couleurs. Vous n’avez sans doute pas tous vu la même chose.

Pourquoi il y a autant d’objets qu’on n’utilise pas dans la pièce, comme l’extincteur, le tapis sur le fauteuil, la corbeille ?

On n’a pas besoin d’utiliser tous les accessoires pour que l’histoire se crée dans ta tête : peut-être que Bobby Potemkine les a utilisés avant ou les utilisera après et dans cette petite bribe de temps passé avec lui, il ne les a pas utilisés. Il y a aussi cette idée de se raconter juste des histoires ou de s’imaginer des choses et c’est vrai que quand il y a un élément comme ça, la curiosité est éveillée. L’idée est de laisser la chose ouverte et justement de ne pas tout utiliser, de ne pas tout décider pour vous, pour vous laisser une liberté d’interprétation. Il y a parfois des rendez-vous, comme dans les rêves ou dans la réalité : une petite chose qu’on voit et qui coïncide avec une chose et ça ouvre une petite brèche dans l’imaginaire, ou pas… Dans le théâtre, c’est important de laisser des trous, des espaces sans réponse, pour vous laisser construire votre histoire. C’est aussi le spectateur qui fabrique sa propre histoire : il y autant d’histoires que de spectateurs. On croit beaucoup à cela : devant un spectacle, chacun construit sa propre histoire avec ce qu’il est, ce qu’il a vécu. On ne vit pas les choses de la même façon…

Propos retranscrits à partir d’un enregistrement audio par Gaoussou et Hahiette.

Les avis des 4°6 sur « Moi, les mammouths »

Pénéloppe : Les créations lumières permettaient d’imaginer les décors, comme l’incendie à un certain moment.

Alexandre : L’état de somnolence de Bobby Potemkine rendait le texte assez lent, ce qui pouvait créer une certaine angoisse chez le spectateur.

Kelian : La pièce est hypnotisante et j’ai trouvé intéressante l’utilisation de la phosphorescence.

Ariana : J’ai bien aimé la pièce mais certains passages faisaient peur, comme par exemple quand Bobby se met par terre avec la peau de mammouth.

Perrine : Les objets du décor qui ne sont pas vraiment utilisés dans le spectacle (boule de papier, extincteur…) sont propices à l’imagination du spectateur.

Emma : J’ai trouvé l’articulation lente de Bobby très relaxante et je ne me concentrais que sur la voix.

Gaoussou : J’ai été très surpris par le moment où l’ombre de Bobby reste marquée une fois qu’il est parti.

Lou : J’ai bien aimé la scène où Bobby dessine sur le mur en phosphorescence avec la lampe torche.

Robin : Je n’ai pas trop aimé le spectacle qui était trop lent pour moi. L’obscurité nous encourageait à la somnolence et je me suis perdu rapidement dans l’histoire. J’ai trouvé très jolie la peinture à la lumière.

Arthur : J’ai trouvé intéressant et original le décor avec des couleurs qui mettaient assez bien dans l’ambiance de l’histoire.

Guilhem : J’ai trouvé bizarre le monde parallèle et à certains moments, je n’arrivais pas à suivre.

Louis : Pratiquement dès le départ, j’ai été perdu : je ne comprenais pas l’évolution de l’histoire. J’ai aimé les créations lumière.

Célestine : J’ai trouvé que Maud PEYRACHE jouait bien : on pouvait bien se projeter dans l’histoire.

Raphaël : J’ai trouvé que c’était un bon choix de faire des flashs lumineux. Cela montrait tout de suite que ce n’était pas une pièce comme les autres.

Florentina : La voix et le regard de Maud m’ont fait peur. J’avais l’impression que la comédienne me regardait tout le temps. J’ai aimé quand elle a dessiné sur le mur.

Charlotte : J’ai bien aimé le décor avec son aspect futuriste ; j’ai aimé aussi la phosphorescence et les effets sur la toile.

Jadène : J’ai aimé le spectacle mais au bout d’un moment, je ne comprenais plus rien à ce qui se passait.

Paul-Virigil : Au début, quand le spectacle a commencé, comme on était entièrement dans le noir, j’ai eu envie de m’endormir puis les flashs m’ont réveillé et après, j’étais bien présent tout le spectacle. J’ai aimé le moment où elle se relève avec la peau de mammouth et le masque à gaz.

Aristide : Les créations lumières créaient une ambiance bizarre. Au bout d’un moment, je me suis retrouvé dans un état de somnolence.

Hahiette : J’ai bien aimé les traces laissées par les déplacements de la comédienne. Certains passages étaient d’autant plus effrayants que j’avais l’impression que la comédienne me fixait. Les flashs faisaient peur.

Martin : Il y avait beaucoup de silences entre les phrases et je trouvais cela un peu ennuyant. J’ai bien aimé la peinture avec la lampe torche.

Kilian : C’était bien. Quand on s’est installés, Maud était déjà sur scène et elle m’a fait peur : elle restait immobile et elle me fixait tout le temps. J’ai aimé la scène où elle s’est déguisée en mammouth. A certains moments, on voyait double à cause des effets de lumière.

Lien Permanent pour cet article : https://latourette.blogs.laclasse.com/2018/05/24/moi-les-mammouths-de-joris-mathieu-en-cie-de-haut-et-court/

Un défi lecture avec l’école Robert Doisneau!

Aujourd’hui, la classe de Cm2-Cm1 de Mme Benoit (école Doisneau) est venue, pour la 2ème fois, rencontrer la classe de 6ème 7 de Magali CADOT-PAYRE au collège. Lors de la 1ère rencontre, les élèves de primaire ont présenté les livres du prix des incorruptibles (auquel ils participent) et les élèves de 6ème quelques livres qu’ils aimaient. Ensuite, tous les élèves ont lu _Le goût sucré de la peur_ et ont inventé des charades, des devinettes et des rébus en lien avec le livre. Aujourd’hui a eu lieu le petit défi : les élèves, par équipe de 4 (deux élèves de primaire et deux élèves de 6ème) ont cherché les réponses du défi. Ils connaîtront vendredi l’équipe gagnante. Bravo à tous les élèves pour leur travail d’équipe efficace !

 

Lien Permanent pour cet article : https://latourette.blogs.laclasse.com/2018/05/16/un-defi-lecture-avec-lecole-robert-doisneau/

Championnat de France d’Aviron Bateaux du 18 au 20 Mai 2018 Mâcon

Dans le cadre des activités de l’association sportive, une équipe de 15 jeunes rameurs du collège se rendra sur le Bassin du Breuil à Mâcon pour représenter le collège aux Championnats de France d’aviron à Mâcon du 18 au 20 Mai 2018 .

Le transport s’effectuera en mini bus. Les élèves devront se présenter dans le hall à 13h45 pour un départ à 14h le vendredi 18 Mai 2018. Pour le retour le dimanche 20 Mai 2018 les élèves seront déposés devant le collège au plus tard à 17h.

Votre enfant sera accompagné par M Pagès et M Dalloz pendant toute la durée de la compétition.

Infomations

Lien Permanent pour cet article : https://latourette.blogs.laclasse.com/2018/05/15/championnat-de-france-daviron-bateaux-du-18-au-20-mai-2018-macon/

Championnat de France de Step à Mulhouse du 15 au 17 Mai 2018

En route pour les Championnats de France de step à Mulhouse

 

Lien Permanent pour cet article : https://latourette.blogs.laclasse.com/2018/05/15/championnat-de-france-de-step-a-mulhouse-du-15-au-17-mai-2018/

Séjour 5° Auvergne 2018

Un réunion d’informations est organisée au collège le Jeudi 17 Mai 2018 de 18h à 19h dans l’amphithéâtre. Merci de votre participation.

Lien Permanent pour cet article : https://latourette.blogs.laclasse.com/2018/05/11/sejour-5-auvergne-2018/

Rencontre avec des professionnels des métiers du gaz

Le 29 mars, les élèves de 4.3 ont eu l’occasion de rencontrer des professionnels des métiers du gaz dans leur classe.

 

Cette rencontre s’inscrit dans le cadre d’un projet de bassin qui a mis en lien le CIO Lyon Nord, l’Inspecteur de l’éducation nationale M. Millet, des professionnels de l’Association Française du Gaz, et deux professeurs de physique des collèges La Tourette et Lassagne (Caluire).

Mme Ray, responsable de l’alternance et des stages chez GRT Gaz a présenté dans un premier temps la chaîne du gaz, les entreprises et leurs missions aux différentes étapes de la production à la distribution, ainsi que les diplômes et les métiers correspondants.

Cette présentation a été enrichie par le témoignage de deux professionnels, M. Michoux, responsable de secteur chez GRT Gaz, et Mme Ferreira, responsable de la planification des intervention des techniciens de GRDF, qui ont présenté leurs parcours ainsi que leurs missions.

Les élèves ont été particulièrement curieux et participatifs avec des questions très variées :

“Comment on fait pour que le gaz liquide à -160° n’endommage pas la coque du méthanier ?”

“Y a-t-il déjà eu des accidents graves ?”

“Est-ce que le gaz est une énergie fossile ?”

“A quel endroit utilise-t-on le plus de gaz ?”

A l’issue de la rencontre, il semble que certains messages les ont particulièrement marqués :

“Plus on a de diplôme et plus on est payés.”

“Le gaz est important car il crée des emplois.”

“Ce sont des métiers où il y a des astreintes.”

“L’importance de la sécurité.”

“Une fois dans l’entreprise, il est possible d’évoluer. Cela dépend de notre volonté de progresser.”

Cette intervention a permis un prolongement du programme de sciences physiques concernant les procédés de combustion et de méthanisation. Une préparation conjointe de M. Kiener et Mme Barnier a été l’occasion d’un approfondissement concernant le développement durable et la production de biogaz ainsi qu’une occasion pour les élèves de développer des repères sur les études après la 3ème et après le bac.

Lien Permanent pour cet article : https://latourette.blogs.laclasse.com/2018/05/03/rencontre-avec-des-professionnels-des-metiers-du-gaz/

LES ÉLÈVES DE 6°3 A LA FÊTE DU COURT MÉTRAGE

Le vendredi 16 mars 2018, accompagnés par leur professeur de français, la maman
d’Andréa et la maman d’Elian, les élèves de 6°3 sont allés cours Bayard (Lyon 2 ème ) dans
les locaux de CINECREATIS, une école de cinéma et d’audiovisuel où se déroulait la
fête du court métrage. Ils ont d’abord assisté à une projection de courts métrages puis,
répartis en trois groupes, ils ont participé à différents ateliers organisés par l’association
Entre les mailles : maquillage, doublage et bruitages, photographie, table mash-up,
tournage studio, tournage en fond vert…

PROJECTION DES COURTS MÉTRAGES

Nous avons vu « Leur bande et moi », un programme de quatre courts-métrages (films de courte durée)
différents sur le thème de l’altérité et des différences. Il y avait un documentaire, un film d’animation et deux
films.
Le premier film était sur le rock ; le deuxième sur des enfants qui s’introduisent dans une piscine la
nuit et sont surpris par le gardien ; le troisième sur l’histoire d’un chanteur noir de blues américain et le dernier
film montrait des adolescents qui parlaient d’un film sur un couple de cow-boys homosexuels.

J’ai aimé le film d’animation sur le blues. (Zadig)
J’ai beaucoup aimé le film d’animation sur le blues et le court-métrage sur les enfants à la piscine. (Ambre)
J’ai beaucoup aimé le court-métrage sur la piscine. (Meïssa)

Ambre, Meïssa et Zadig.

MAQUILLAGE

Il y avait deux postes de maquillage avec des maquilleuses professionnelles : un pour les maquillages
de science-fiction et un pour les maquillages artistiques.
Elles ont une manière différente de maquiller : l’une avec les doigts et l’autre avec le pinceau. Pour
réaliser de gros maquillages, il faut énormément de temps (environ cinq heures).
Le faux sang est constitué de miel et de colorant alimentaire. On peut aussi utiliser aussi du latex pour
faire une fausse balafre.
Certains maquillages étaient très réalistes et imitaient des blessures comme les yeux au beurre noir,
l’arcade sourcilière ouverte ou la balafre sur la joue. On pouvait faire croire que l’on s’était battus.

Nous avons adoré cette sortie.

Dylan, Nilane et Saiba

 

CASCADES

Nous sommes allés à l’atelier cascades où nous avons rencontré des cascadeurs professionnels qui nous
ont appris à simuler une bagarre. Ils nous ont appris trois étapes pour donner une claque fictive : la première
était le mouvement de la claque, la seconde le bruitage sur la cuisse ou les pectoraux, la troisième et dernière
étape était la réception de la claque. Le bon angle de la caméra était très important ; sinon, l’effet n’était pas
réussi.

Nous avons aimé cet atelier car il nous apprenait beaucoup de choses sur le cinéma.

Elian, Hipolyte et Lola.

BRUITAGES ET DOUBLAGES

L’atelier se passait dans une pièce bien isolée (assez sombre). Quand nous sommes entrés dans le
studio, nous avons tout de suite aperçu une grande table avec différents types de matériels électroniques
(table de mixage, ordinateurs, vidéo projecteur… etc.). Il y avait également quatre micros branchés à des
enceintes.
Nous avons regardé un extrait du film « Moi, moche et méchant ». Nous avons ensuite inventé des
scénarii (d’une super pizza promo et finale de la coupe du monde de football France Allemagne) à partir des
images que nous avions précédemment regardées. Puis nous avons réalisé le doublage et le bruitage à la place
des voix et bruits des personnages.

C’était très amusant de regarder le son avec les images une fois le doublage terminé, car les versions que
nous avons créées sont très différentes de la version initiale.
Andréa, Emma et Max.

TOURNAGE SUR FOND VERT

La couleur verte a été choisie car c’est la couleur la moins présente sur la peau. Si le personnage a un
costume vert et derrière lui un fond vert, tout le vert se transformera en une autre image. Harry Potter a par
exemple une cape d’invisibilité mais en réalité, pendant le tournage, il avait une cape verte. Les présentateurs
météo ont derrière eux un fond vert et tout le reste (la carte, etc.) est fait à l’ordinateur. C’est pour cela que
leur travail est difficile car ils peuvent confondre leur droite et leur gauche.

Nous avons trouvé cela super car nous avons pu découvrir la magie du fond vert.

Bastien, Faria et Yoan.

PHOTOGRAPHIE

Nous avons été accueillis par un monsieur qui nous a montré quatre photogrammes parmi lesquels nous
avons dû en choisir un. Ensuite, nous avons dû le reproduire avec des Lego et des Playmobil. Quand nous
avons terminé le cadrage, nous avons dû régler la luminosité pour que la photo ressemble le plus possible au
photogramme choisi.

Nous avons trouvé cet atelier intéressant car nous avons appris à cadrer les photos et à régler la luminosité.

Amina, Anna et Anouk.

 

TABLE MASH UP

La table mash up est une table en verre avec un scanner en dessous. Le but est de faire des (petits)
films, avec des cartes plastifiées ayant au-dessus des images correspondant à des morceaux de film, des
bruitages, des musiques ou des sons au micro. A l’arrière de la carte, il y avait un code barre différent pour
chaque carte que le scanner pouvait lire.
Ensuite, nous nous sommes divisés en deux groupes pour faire un petit film (un court-métrage) en
choisissant des scènes de films, des musiques, des bruitages et en ajoutant de la voix au micro.

Ce qui nous a plus était l’aspect magique de cet atelier car dès que l’on posait les cartes sur la table, le film
s’affichait sur le tableau, la musique s’activait et les bruitages aussi…

Angèle, Ilan et Paul.

 

TOURNAGE STUDIO

Nous avons participé à un tournage dans un studio de cinéma avec un décor de salon. Nous avons
tourné avec des acteurs professionnels. Le but était d’illustrer les expressions françaises au sens propre au
lieu du sens figuré : nous avons par exemple illustré l’expression « jeter l’éponge » en jetant des éponges sur
le caméraman.

J’ai trouvé cette expérience très enrichissante car on a pu découvrir les coulisses du cinéma et on nous a
montré comment tourner sur un plateau tout en s’amusant. (Gabriel)
J’ai bien aimé voir l’envers du décor. (Milo)

Lien Permanent pour cet article : https://latourette.blogs.laclasse.com/2018/05/03/les-eleves-de-63-a-la-fete-du-court-metrage/